Ce nouveau thriller vous sera présenté en grande pompe lors de son lancement officiel le 13 août 2025 au Bistro Pub du Parc lors d’un 4 à 7.

(peut-être mettre le montage que tu as fait pour le lancement) Est-ce que l’on pourra changer le texte pour des photos lors du lancement?

Voici un court extrait. Ce texte ne relève pas du roman érotique ni du style policier, mais s’inscrit dans le genre des sagas familiales. Il s’agit d’un thriller sentimental qui met en avant l’action, tout en intégrant des aspects psychologiques propres au roman d’amour.

Situation : Amélie et Joe, deux citoyens français en vacances au Québec, sont arrêtés aux douanes en raison du nom de famille de Joe à consonance arabe. Un an plus tôt, les tours jumelles aux États-Unis s’étaient effondrées, causant de nombreuses pertes humaines. En conséquence, la sécurité a été renforcée à l’échelle internationale.

Les murs blancs d’une hauteur d’au moins trois mètres avaient de minuscules fenêtres juchées en un ruban près du plafond permettant à la lumière d’entrer mais empêchant quiconque de voir dehors tellement elles étaient hautes. Le mobilier quasi inexistant comprenait un bureau de métal gris sans aucun accessoire et six chaises droites sans confort et sans style. On se serait cru dans un parloir de prison ou d’un hôpital psychiatrique; de quoi vous donner des frissons dans le dos ! Et l’attente qui n’en finissait pas, les secondes semblaient des minutes et les minutes, des heures. Joe était assis les deux bras sur les genoux tournoyant entre ses doigts un bout de papier qui devenait de moins en moins lisible alors qu’Amélie marchait de long en large, ce qui témoignait beaucoup de son impatience.

─Assieds-toi, tu me rends fou.

─Et toi, ton calme me rend complètement dingue.

Ils éclatèrent de rire. Elle était si belle, son pantalon de daim naturel soutenu par une large ceinture aux hanches admirablement agencée avec une blouse imprimée en soie semi-transparente qui se terminait à mi-chemin entre ses seins et sa taille. Ses longs cheveux encadraient son visage d’une beauté divine. Il n’avait jamais pu résister à ce regard, à ces yeux bleu-vert qui vous regardaient jusque dans l’âme, une mer où l’on voudrait se perdre.

Lui se trouvait bien ordinaire, sauf que son charisme et son assurance lui donnaient des allures de dignitaire. C’était un homme, un vrai, un être qui vous protégeait, vous sécurisait. Sa seule présence suffisait pour vous sentir mieux. Il avait un je-ne-sais-quoi de mystérieux. On ne pouvait dire de quelle nationalité il était; les cheveux noirs, les yeux noirs, le teint basané, une carrure de joueur de football et il se disait ordinaire… Quelle modestie ! Toutes les femmes se retournaient sur son passage et elles ne regardaient pas que son visage. Il avait une paire de fesses charnues et portait toujours des jeans assez serrés pour laisser imaginer la générosité de son créateur…